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Post by moshecoco on Jul 19, 2006 14:41:52 GMT 1
Thank you girls for all the kind words I found some more photos of Stephane in Japan... Sorry if I'm bothering you with all this bombarding of pics after pics http://*** It was a hot day and Johnny was fanning Stephane with this small "sensu" (Japanese folding fan) http://*** http://*** Cute smile! http://*** This photographer must have some peculiar fetish... *lol*
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Post by anne on Jul 19, 2006 14:53:34 GMT 1
Thank you moshecoco, never get fed up with Steph pics. I can open the first link but what pics are the other links? Please help me Anne
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Post by moshecoco on Jul 19, 2006 15:20:49 GMT 1
The links don't work? Sorry! Cute smiles http://*** http://*** Steph's feet http://***
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Post by anne on Jul 19, 2006 15:24:37 GMT 1
Thank you moshecoco, now it's working fine. Very,very cute pics. Anne
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Post by Black Cat Cologne on Jul 19, 2006 17:11:06 GMT 1
"When life seems painful and one's heart is broken, everyone wears a mask and hide true emotions to protect him- or herself. But I, especially when I love someone, always would want to throw that mask off and face the person truthfully because that is what's needed when you want to 'fix' a difficult situation. It's the message of this program!" OOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHH...(have no Words) Moshecoco...who on Earth photographed his feet??? Thats funny!!! And Arigatoooo !!! for the new pics!!!
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Post by JuStina on Jul 19, 2006 17:19:53 GMT 1
yea Lilly .....oooohhhhh ...absolutely wonderful and meaningful words
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Post by Black Cat Cologne on Jul 19, 2006 17:23:10 GMT 1
Yes..i couldn´t say more at that moment!!! *smile* By the way... Moshecoco...did your Hand seen some water meanwhile??? (since this magical moment???)
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Post by ...{Nori}... on Jul 19, 2006 18:42:21 GMT 1
thank you so much ;D this pic is...fantastic
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Post by moshecoco on Jul 19, 2006 18:59:20 GMT 1
By the way... Moshecoco...did your Hand seen some water meanwhile??? (since this magical moment???) Oh lilly, gimme a break! Wash my hand!? Take a bath!? NO WAY!! I will never ever wash Stephane's tiny atoms off me!!! Grrrrr!! ...Just kidding The summer here in Tokyo is so wet and humid that, if you skip shower for just one day, you'd start to smell badly -- not like vanilla but rotten egg or fish! It's okay. My wonderful 20 seconds' memory is not on my hands or body; it's in my brain and heart! And no one can wash off that memory... ever...
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Post by anne on Jul 19, 2006 19:01:44 GMT 1
Don't know if that has been posted before but seeing pics of his feet, here he tells you something about his feet:
L'Illustré; 15.02.2006; numéro 7; page 22 Jeux olympiques Stéphane Lambiel Secrets de vestiaire En septembre, L'illustré a accompagné le Valaisan en repérage à la patinoire de Turin. Là où il est aujourd'hui impossible d'aller: au coeur du vestiaire, où les petits détails font les grandes victoires. Texte: Laurent Favre Photos: Sedrik Nemeth Je m'appelle Stéphane Lambiel. J'aurai 21 ans le 2 avril prochain et je vais bientôt m'élancer sur la glace du Palavela. Au bout, peut-être, le rêve de ma carrière sportive: une médaille olympique, devant mes supporters tout de rouge vêtus, à quelques kilomètres de mon Valais natal. Comme d'habitude, je suis arrivé le plus tard possible à la patinoire. Le village olympique est pourtant proche. Mais je n'aime pas me plonger trop tôt dans l'ambiance, je préfère débarquer au dernier moment même si mon entourage a peur d'un imprévu. Avec moi Majda Scharl, ma préparatrice physique et mentale, ma chorégraphe Salomé Brunner et mon entraîneur Peter Grütter - que je continue d'appeler Monsieur Grütter après onze ans de collaboration. Avec eux, je me sens bien. Moi qui suis un impulsif, j'ai besoin de m'entourer de gens calmes. Ce sont aussi des personnes vraies. Quelqu'un qui me ment, ou qui m'aborde par intérêt, je le repère tout de suite. Il paraît que j'ai un très bon jugement sur les personnes. Les coulisses de la patinoire s'ouvrent sur une énorme porte en béton qu'il faut faire coulisser et aussitôt refermer pour ne pas que le froid s'échappe. On passe sous les gradins et on arrive devant un grand couloir. A droite: l'infirmerie et le contrôle antidopage. A gauche: les vestiaires. Il y en a deux pour le short track; et deux pour le patinage, un pour les hommes, l'autre pour les femmes. Le vestiaire est petit. Un peu comme à Moscou. Lorsque nous sommes les six du groupe, ça va, mais lorsque le groupe qui arrive et le groupe qui part se croisent, avec en plus les entraîneurs... Je n'aime pas l'échec Certains préfèrent aller se changer chez les filles. Je les observe. J'aimerais être plus grand. Plus fin, plus délié. Monsieur Grütter me répète pourtant que j'ai le physique idéal pour le patinage. «Il n'y a pas de champion de plus de 1m75», me serine-t-il. C'est vrai que je suis beaucoup moins souvent blessé qu'eux. C'est la dernière fois que je les regarde. Lorsque mes adversaires chutent, ça ne me fait pas plaisir. Au contraire, je détourne la tête. Je ne veux pas regarder. Je ne veux pas être contaminé par l'échec. Je n'aime pas l'échec. Je déteste tellement l'échec que je me débrouille pour être au point très tôt dans la saison. Je n'aime pas le tâtonnement des premiers mois, cette période de doute et d'hésitation. Un sportif se rassure avec des habitudes. Dans mon casier, je mets toujours des petits sacs de sable pour absorber l'humidité des patins, une peau de chamois pour essuyer les lames, des protège-lames que j'ai reçus lors d'un stage à Jaca - tiens, avec Plushenko! -, de l'huile de l'arbre à thé, quelques pansements, une boîte de Kleenex - les patineurs passent leur vie à se moucher - et mes disques. Deux CD avec la bande-son de mes programmes court et long, plus les disques du moment. Ces derniers temps, c'était Ben Harper et James Blunt. La musique est essentielle pour moi. En période d'entraînement, je la passe systématiquement. Si je patine mal ou que je rate mes sauts, ça me permet de déconnecter, de danser, de chanter. J'enlève mes chaussures, mes chaussettes. Je frotte mes pieds nus. Je n'aime pas mes pieds et il faudrait me payer cher pour que je les montre en public. Ils sont larges, épais, déformés par les milliers d'heures passées sur la glace. Ils ressemblent aux mains des maçons. Ils trahissent le travail et les sacrifices. Mais en patinage, tout doit sembler léger, facile, gracieux. Je passe un survêtement, enfile des baskets et reprend le couloir avec Majda pour aller m'échauffer dans une salle voisine. On y trouve des vélos, des appareils de musculation, des tapis pour le sol. L'échauffement est autant physique que mental. J'entre peu à peu dans ma bulle. Lorsque je retourne au vestiaire, je suis déjà très concentré. Je vous croiserais que je ne vous reconnaîtrais pas. Précieux lacets J'enlève mes baskets. J'enfile ma tenue. Je mets mes patins. Il m'a fallu du temps pour me sentir bien à l'intérieur. J'essaie de les faire durer une année mais je n'y arrive pas. Monsieur Grütter trouve que j'exagère, que j'en change trop souvent, que le cuir ne se détend pas aussi vite que je le pense. Je les lace en montant et en redescendant. Aux Jeux de Salt Lake City, un lacet m'est resté dans les doigts juste avant l'échauffement du programme long. J'ai toujours une seconde paire avec moi. Allez trouver des lacets de deux mètres de long à l'improviste... En plus, il faut que le bout soit suffisamment dur pour traverser le cuir très rigide de la bottine. Mieux vaut donc être prévoyant. Parfois, c'est un crochet qui casse. C'est arrivé aux Championnats d'Europe de Dortmund. Alors je lace et on met du tape par-dessus. Mon épingle à nourrice Je dois avoir aussi une épingle à nourrice. Au cas où le costume craque. Une vieille manie de Monsieur Grütter qui n'a jamais oublié ce jour où son costume s'était déchiré après un saut écart, laissant entrevoir un superbe caleçon rouge vif! J'aurais aimé voir ça... Par contre, j'ai réussi à lui faire renoncer à prendre une seconde paire de patins, au cas où une lame casserait. Ça n'est jamais arrivé et ça m'obligeait à former une deuxième paire. En plus, depuis les attentats du 11septembre, nous ne pouvons plus prendre les patins en bagage cabine dans les avions. Ils doivent voyager dans la soute. On risque donc juste de perdre deux paires au lieu d'une, c'est arrivé à Salt Lake City à un couple italien. De toute façon, je l'ai dit à Monsieur Grütter: si l'une de mes lames casse, je ne patine pas. Je suis prêt. Le couloir me paraît cette fois bien long. Je suis concentré. Tendu, mais j'aime ce stress qui me gagne avant une compétition. Je sais exactement ce que je dois faire et comment le faire. J'étreins une dernière fois Salomé et Monsieur Grütter avant de m'élancer. Dans moins de cinq minutes, je reviendrai vers eux. Je les étreindrai à nouveau. Vidé. Heureux. L. Fe Trucs de champion Des patins neufs Le Valaisan les aime très rigides, afin que le pied soit bien tenu. Du coup, il en change presque chaque année et est constamment en train de former une nouvelle paire. En revanche, il n'est pas très sensible à l'aiguisage des lames, qu'il ne renouvelle que tous les deux mois à Genève. Des lacets au cas où Les lacets de patins mesurent deux mètres de long. Stéphane les attache en montant et en descendant. Pour ses premiers Jeux à Salt Lake City, l'un des lacets s'est cassé juste avant le programme long. Heureusement, il en emporte toujours une paire de réserve avec lui. Je t'aime moi non plus Personnage impulsif et spontané, Stéphane Lambiel vit une relation d'amour haine avec son sport. Lorsque l'entraînement se passe mal, il n'est pas rare qu'il promette de «tout arrêter». Ce qu'il ne fait jamais, bien sûr. «Mon sport est toute ma vie, surtout cette saison», reconnaît-il. Couloir mental Sortant des vestiaires, il se rend à la salle d'échauffement. La solitude austère du couloir est propice à la concentration. Le patineur se fixe des oeillères mentales pour ne plus voir que son programme. Lames en paix En septembre dernier, Stéphane Lambiel est venu s'entraîner une semaine à Turin dans les conditions des Jeux olympiques. Quel que soit son classement, il aura fait son maximum. Des pieds de champion Il déteste ses pieds, trop puissants, trop musclés, trop déformés par les milliers d'heures passées sur la glace. Face à son destin Dans l'antre de la patinoire de Turin où se jouera jeudi le titre olympique de patinage artistique. Gammes au sec L'échauffement se fait d'abord hors glace. Le patineur fait monter son rythme cardiovasculaire, étire ses muscles, sollicite déjà la ceinture abdominale et répète ses sauts au sec. Instants de repos De retour au vestiaire, Stéphane s'accorde un peu de repos pour faire le vide dans sa tête. Anne
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Post by sigrid on Jul 19, 2006 19:08:57 GMT 1
Moshecoco Arigato Thank you very much for all the pics Anne, Thank you too I would like to understand French kisses
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Post by Oksana on Jul 19, 2006 19:11:41 GMT 1
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Post by chris on Jul 19, 2006 19:30:51 GMT 1
thanx a lot!!! love the pics...they are wonderful...and steph looks so tanned! wow!!
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Post by anne on Jul 19, 2006 20:12:58 GMT 1
Anne, Thank you too I would like to understand French Sigrid, he says that he hates his feet. He think they are big, thick out of shape through all the hours training on the ice.They look like the hands of a mason. They show the work and the sacrifices. Anne
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Post by sigrid on Jul 19, 2006 20:28:38 GMT 1
Anne, Thank you too I would like to understand French Sigrid, he says that he hates his feet. He think they are big, thick out of shape through all the hours training on the ice.They look like the hands of a mason. They show the work and the sacrifices. Anne Thank you anne
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